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Tony Marinaro détruit Jeff Petry après des propos ordinaires du défenseur

Publié le 29 septembre 2022 à 11h45
PAR DAVID ST-JEAN
On entend souvent d'anciens joueurs parler plus ou moins en bien de leur ancienne formation après avoir été échangé. C'est souvent par sous-entendus, mais c'est assez facile de lire entre les lignes.

Dans une récente entrevue, Jeff Petry a manqué sa chance de ne pas trop parler et il a mentionné que les Penguins visent la Coupe Stanley, alors que les Canadiens visent simplement de faire les séries éliminatoires. Bref, selon Petry, les standards sont plus élevés à Pittsburgh.

Ça n'en prenait pas plus pour faire rager Tony Marinaro, qui n'a pas mâché ses mots ce matin sur les ondes de BPM Sports :

« Écoute, même si c'était vrai, car Pittsburgh a remporté 5 Coupes Stanley, et dans les 15 dernières années ils en ont remporté 3, pas toute vérité est belle à dire. Jeff Petry avait une chance de se la fermer. Il aurait pu répondre ''écoute, je suis en désaccord avec toi, j'ai joué avec le Canadien de Montréal et c'est une riche tradition. C'est une organisation qui voulait gagner, ça y'a aucun doute, pis on est passé proche il y a deux ans''.

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Jeff Petry, c'est le même gars que l'an dernier, il jouait du hockey pourri et il a lancé Dominique Ducharme sous l'autobus en disant qu'après une défaite à Pittsburgh, quand lui était pourri aussi, que l'équipe ne jouait avec aucune structure. Dominique Ducharme avait beau essayer de le contourner, que Jeff Petry visait ses compétences lorsqu'il a dit ça. »

Marinaro a ensuite dit sa façon de penser sur la femme de Jeff, Julie Petry :

« Ça, c'était un joueur qui était malheureux de jouer à Montréal l'année passée et parce que madame était malheureuse. Donc, parce que madame était malheureuse, lui il était malheureux, car le tout a commencé avec madame. Quand madame a rentré dans un Costco sur la Rive-Sud, un gérant aurait roulé les yeux quand elle aurait dit au gérant qu'elle ne comprenait pas le français.

Ah, pauvre madame, elle est ici depuis plus de six ans, pis elle comprenait pas le français. Même si c'était vrai que le gérant a roulé les yeux, t'es la femme d'un joueur important d'une organisation qui est supposée d'avoir le plus de classe. T'es une ambassadrice de ce club-là, pis c'est un club qui a déjà de la difficulté à aller chercher des joueurs autonomes. Tu veux faire de la bonne publicité pour le club qui a toujours été bon avec toi, ton mari et ta famille. »

Vous pouvez écouter le segment complet ci-dessous.


Crédit : Fanadiens.com
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